Eh bien oui, 2 cm après des jours de pluie…
Nous voilà donc arrivés aux fameux 21,10 m (toujours au-dessus du niveau 0 mesuré dans le vieux port de Marseille, et ce n’est pas une gâléjâde).
Donc, on est parvenu au minimum du niveau hivernal. Si ce niveau se stabilise jusque fin avril, ce sera une bonne affaire pour la voile.
Les pluies ont un peu retardé les travaux « extérieurs » du chantier nautique. Mais aujourd’hui, Francis a fini de clouer…
les couvre-joints !
Du beau travail, avec de la finition…
quasiment professionnelle !
Quant aux travaux d’aménagements intérieurs,…
… ils progressent lentement. Ici,l’on voit les grandes étagères qui permettront de ranger le mât, les voiles, les rames… d’un même bateau, bien à plat et au sec. Tout à fait en haut, l’étagère de Liku, au milieu, on voit le grément de Caminar et sur l’étagère du bas, on aperçoit le mât de Potemkine.
Ces étagères sont prolongées par 6 m de même plan. Les flotteurs, les ailes, seront stockées là, plus tout le reste.
Mais, sur les autres chantiers des Oréades, le compte à rebours est commencé.
Voici la « place du village ». Vous ne voyez plus les innombrables gaines et tuyaux (électricité, eau, eaux pluviales, téléphone, internet) qui sont enterrés. Demain, commencent les travaux de pavage. Les pavés des Oréades sont d’un modèle déposé !
Ici, la charpente métallique de la piscine toute saison. Les murs seront du vitrage et le toit sera végétalisé !
Les pagodes sont prêtes. Vue imprenable sur le soleil couchant d’hiver…
Sous la butte des pagodes, on trouve 50 m de locaux divers et variés : sanitaires complémentaires, lingerie, buanderie, stockage, et même club enfants.
ET POUR LA SÉQUENCE SOUVENIR…
Dans les fonds de youtube, survit un drôle de document : une sorte de dessin animé illustrant des données techniques de la navigation à voile. Il s’agissait là d’expliquer « l’angle de dérive ». Un « montage vidéo » qui était possible dans les années 2010, du temps où l’on pouvait trouver des logiciels relativement simples qui permettaient de faire bouger des dessins vectoriels, sans pour cela employer du code abscon.
Mais voilà…
Les GAFA sont passés par là.
Le petit logiciel utilisé dans la vidéo qui suit a été racheté par Adobe. Non pas parce que cette firme en avait besoin mais tout simplement pour éliminer des concurrents. Donc, de nos jours, pour refaire le même document, il faut passer par Adobe Flash… et payer 1 500 € tous les ans.
A bientôt pour d’autres nouvelles.