On en parle souvent mais on les voit moins souvent…
Il s’agit bien évidemment des ânes de la « plage des ânes », plage que l’on a désertée durant tout l’été.
En ce début d’automne 2019, le 20 septembre, nous avons donc rendu visite à ces animaux qui vivent sans contrainte sur des dizaines et des dizaines d’hectares de « marais », terrains communaux de Sanguinet concédés à un éleveur. Jusqu’à ces temps derniers, d’autres animaux vivaient librement sur le même territoire, notamment des vaches (non landaises).
L’acte XII rendait compte d’une autre visite dans les marais situés plus au Sud.
Ces destinations ne sont guère proposées aux touristes de l’été. Et pourtant, il y a là plein de choses à découvrir et à comprendre.
On voulait profiter de la trouille qu’inspirerait le « vendredi 13 » pour solliciter l’attention des candidats éventuels à la navigation sur le lac. Ce jour-là, comme tous les jours précédents, les conditions météo s’avéraient positives. On pouvait aller n’importe où, il y aurait du vent pas très fort et une température agréable sous un ciel bleu.
Mais les candidats éventuels devaient être repartis au boulot ou à l’école…
Pas grave, on pouvait donc en profiter pour tenter quelque exploration dans des contrées très très peu fréquentées.
Les surprises furent au rendez-vous.
La vidéo est visible. La version stabilisée est acquise après plusieurs visionnages… N’oubliez pas de liker. Merci.
Vous n’allez pas me croire : c’est très difficile de montrer en vidéo (et même en photo) 3 multimonos naviguant bord à bord ! Il y a toujours un « truc » qui coince ou qui se met en travers. Même en 2014, lors de la grande Esventada, alors que 9 multimonos étaient présents, personne ne put en saisir plus de 2 à la fois… C’est un mystère.
Ce jeudi 29 août, on avait fait l’effort de bien se concerter avant la séance. Et… ce fut plus positif que toutes les occasions passées. Ouf…
Mais il reste plein de données techniques à régler, du point de vue de la navigation, sur le plan technique photo et stabilisateur, sur le plan du navire embarquant la vidéo, etc. On avance !
On devrait être prêt pour le mois de septembre qui, du point de vue « lumière » est plus intéressant que juillet ou août (lumière trop crue et finalement ciel souvent voilé !). Les moments les plus intéressants se situent juste après des jours de pluie : la poussière est retombée, l’air est transparent !
Avec les séquences « rescapées » (ne présentant pas trop de défauts), j’ai monté une quinzaine de minutes d’images. J’ai testé les voix de synthèse pour le commentaire (bof…), la musique n’est pas celle qu’il faudrait… mais, globalement, ça donne une idée de ce que l’on peut faire dans le domaine « publicitaire » pour la Companha.
Je mets le lien dès que le téléchargement sera terminé :
Depuis quelques temps, on remarque le retour des Parisiens dans la région. Ils étaient nombreux dans les années 70 mais, par la suite, ils boudaient la région, comme les Allemands et les Anglais. Où donc étaient-ils passés ?
Donc, quand des parisiens décident de faire de la voile, c’est encore plus intéressant. Ce 22 août, c’était donc le cas. Et tout commença mal car le vent s’entêtait à venir du Nord-Est, dans le sens contraire du départ traditionnel.
Alors, une fois de plus, Éole eut pitié de nous et nous dépanna séance tenante ! Incroyable…
Voici donc un compte rendu visuel (l’audio étant réduit au strict minimum) d’une navigation par vent de force 3-4, de secteur O-NO. Il s’agissait de filmer un voilier depuis un autre voilier avec l’aide d’un stabilisateur nouvelle génération, le Ronin sc. Le dit stabilisateur étant sensé absorber les mouvements du voilier filmeur, suivre le voilier filmé et conserver une ligne d’horizon stable. Ce qui paraît logiquement impossible…
Et pourtant, les résultats sont là.
Bien-sûr, dans les vidéos montées, on ne montre que le meilleur des rushs. Il y a aussi des ratés lors de la prise de vue. Car l’appareil exige qu’on en connaisse toutes les propriétés et les réglages. Et c’est là que commencent les difficultés… Il faut télécharger une « application » depuis un site anglais, tout est en anglais ou plutôt en anglicismes. C’est alors que l’on mesure l’imperium anglo-saxon mâtiné de confusionnisme asiatique… Même « google-traduction » ne trouve pas tous les mots nécessaires.
Drôle de titre pour cet ACTE VIII (huitième semaine de l’été).
Comme cette année, on ne force pas sur l’aspect « commercial » de l’activité voile, il s’avère que les volontaires qui s’inscrivent… c’est que vraiment ils sont intéressés. Ils connaissent les enjeux de cette pratique nautique ; il ne s’agit pas de frimer avec son « gros… moteur » ou son jet-ski dans l’espoir d’éblouir le parterre de ces dames plus ou moins complices. Il s’agit donc de faire connaissance avec la force du vent et celle, moins évidente, de l’eau.
Et lorsqu’on rencontre des gens ainsi disposés, nous sommes très contents. C’est souvent le cas et ce fut bien perceptible ces derniers temps.
Oui, mais pourquoi cette mention : « Vas-y Émile ! » ?
Pour l’ACTE VII avait été utilisé comme fond musical, la « valse des patineurs » que l’on attribue un peu vite à un Johann Strauss (le père ou le fils). Or, il s’agit d’une œuvre d’un musicien français, donc méprisé par l’intelligentsia parisienne pour laquelle un bon compositeur ne peut être qu’Allemand ou Autrichien, voire Italien.
Émile Waldteufel, né en Alsace dans une famille de musiciens, fit ses études à Paris, à l’époque de Gounod et devint le compositeur attitré de la cour impériale de Napoléon III le petit. Et à l’époque, on dansait la valse et la polka dans les salons dorés de Paris et de… Biarritz. Une valse pouvait durer 8 à 12 minutes. De quoi faire tourner la tête de ces dames, et après… bon…
Donc, cet acte VIII rassemble quelques séquences vidéo des sorties programmées jusqu’au 14 août. Et ça mérite bien une valse jouée par l’orchestre symphonique au grand complet. C’est autre chose que la guitare à l’électricité.
N’oubliez pas de liker, (cliquer sur le pouce gris qui devient bleu, je crois).
Ce samedi 10 août devait être un grand jour de navigation et de vidéo, du moins lorsqu’on regardait les prévisions météo :
Il est effectivement rare que le vent puisse se maintenir en force et en direction de 11h à 18 heures, sous un beau soleil et avec quelques nuages de ci de là…
Ce qu’il arriva, vous le découvrirez en visionnant l’acte VII de la saison 19 :
N’oubliez pas de liker (même si on ne sait pas à quoi ça sert).
Laborieux ACTE VI…
Il raconte pourtant une séquence de navigation ordinaire dans laquelle on a voulu tester le genaker à la place du foc. Mais l’introduction des dessins techniques dans une vidéo… c’est pas facile et pas encore évident. Vous allez donc voir « bouger » des dessins de bateau le long des traces relevées au GPS et ce n’est pas toujours au point. La faute au trust américain adobe qui a « racheté » tous les logiciels de « dessin animé » qui pouvaient les concurrencer. Ainsi Adobe revend très cher son logiciel dénommé Flash et je n’ai pas voulu plier.
L’acte VI sera suivi d’un petit acte VI-bis avec quelques vues des trois bateaux naviguant de concert.
C’est quand la force 5 ?
C’est quand on ne voit plus sur le lac que deux ou trois planches à voile qui font le même trajet vent travers et quand on voit les voiles rouges des multimonos.
Bien-sûr, en ce bout de conche de Sanguinet, ça peut ressembler à du force 4 mais, dès que l’on franchit les bouées jaunes, c’est une autre histoire de vent qui commence.
Le multimono s’adapte très bien à ces vents costauds. Pour force 4, on prend un ris et pour force 5, on prend 2 ris dans la grand voile et on sort le petit foc. Le bateau reste dans ses formes sans trop giter et ça peut filer très vite. Évidemment, dans le force 5, on peut dire que l’on file puisqu’il est vraiment rare de se mesurer à un autre voilier.
C’est donc pour s’amariner que Francis et Jacques ne ratent aucune occasion de se confronter au force 5. Sur la vidéo qui suit, vous ne verrez que le départ d’une de ces navigations de l’extrême*. Mais bientôt la technique vidéo pourra certainement rendre compte de ce genre de petit exploit.
En tout cas, n’hésitez pas à visionner et à liker.
* ouais, je sais, en Bretagne, c’est une autre paire de manches…