Le muguet n’est associé au 1er mai que depuis le 1er mai 1941, selon les désirs de Pétain. Avant cette initiative contestable, c’était l’églantine rouge que l’on mettait à la boutonnière, depuis ce 1er mai 1886 où, aux U.S.A. (!), les ouvriers revendiquaient la journée de 8 heures, 8 heures de travail, 8 heures des sommeil et 8 heures de loisirs. Ces 3 pôles étaient alors représentés par un triangle rouge puis le triangle rouge fut remplacé par la fleur rouge qui éclot début mai, surtout dans le nord de la France.
Et sur le chantier nautique, la couleur rouge a du mal à s’épanouir vu que la lumière du soleil se trouve jaunie un maximum par le toit de toile jaune de notre chantier. Sébastien et Inda repeignent les intérieurs des coffres en blanc, de la résine qu’il faut doser au gramme près.
Inda est en pleine forme, bien que ce travail de peinture met les genoux et le dos à rude épreuve.
Sur Caminar, les trappes ont été fixées sur les nouveaux surbaux, tout neufs et bien protégés par plusieurs couches de résine 4030. Et surtout, on n’a pas rechigné sur la quantité de mastic d’étanchéité ! Et on est resté fidèle aux vis inox pour maintenir le tout.
Sur Potemkine, trois coffres vont recevoir des nouvelles trappes. Une occasion de se rendre compte de l’état d’usure des surbaux après 8 ans de vie à l’extérieur. Là où le mastic n’était que trop chichement présent, le bois a été attaqué par de mystérieuses bactéries qu’il a fallu traiter au… chalumeau.
Sur l’autre chantier, terrestre, le travailleur ne chôme pas. La course contre la montre continue. Ici, on assemble les meubles du futur local d’accueil.
Les murs de la future épicerie sont maintenant recouverts d’un beau lambris en bois brut de couleur blanche.
L’incroyable véranda est maintenant close. Au plafond, pendent les bouts de plastique fin qui protégeaient les plaques d’isolation.
Enfin, une multitude de casiers en bois local attend les chaussures des futurs baigneurs qui devront passer sous la douche automatique.
Phénomène assez rare, on peut voir Jean Claude dans la piscine ! Il en profite puisqu’il n’y a pas d’eau. Il recolle un après l’autre les petits carreaux spéciaux.
Au-dessus, la piscine est ouverte au public. On remarquera cet étrange escalier qui permettra d’accéder sur le toit du sanitaire et, depuis cette terrasse, on accèdera à la piscine couverte via une passerelle surplombant la place du village !
Les pagodes sont prêtes à accueillir les premiers utilisateurs. Un point de vue incroyable sur le lac. Un point de vue sans pareil dans le Sud Ouest.
La plupart des pagodes disposent de leur propre jacuzzi à eau chaude !
La végétation de ce printemps est exceptionnellement belle. Ce quartier des pagodes est une des réussites pour l’instant inégalée dans le monde de l’hôtellerie de plein air.
Un design incroyable noyé dans une nature particulièrement verdoyante. Aux Oréades, le personnel maîtrise des techniques arboricoles secrètes. Qui aurait pu imaginer un tel décor dans les Landes ?
Il vous arrivera de cheminer sur une allée verdoyante tout en ayant les yeux au niveau des feuillages des chênes centenaires.
Lequel chemin débouche sur la piscine couverte. Piscine dont les travaux de finition s’effectueront après la saison estivale 2018.
La rue principale aux pavés dorés…
Une petite rue qui permet de descendre sur le terrain de tennis…
… terrain de tennis qui disparait derrière les branchages d’une haie aux multiples essences d’arbustes.
Et à l’entrée, une énorme chaîne d’amarrage de bateau est là pour rappeler que la navigation est l’activité essentielle développée sur le lac…
D’ailleurs, très bientôt, c’est Caminar qui va retrouver son terrain d’évolution préféré !