Cela s’est donc passé comme dans le célèbre roman de Pierre Loti…
On partit tôt le matin, si tôt que certains ne purent se lever de si bonne heure et manquèrent à l’appel au moment du départ.
Car aujourd’hui, on pêchait des sardines au large !
Il fallait donc manœuvrer à la voile pour rejoindre les lieux de pêche. Il paraît que l’on vit même Christopher à la barre… (les preuves iconographiques font malheureusement défaut).
Sur Potemkine, avec Pierre et Isabelle, un groupe de pêcheuses expérimentées…
Et sur Caminar,
un groupe de pêcheurs tout autant expérimentés.
A la pêche, on ne mélange pas les mâles et les femelles.
Il paraît que ça favorise la venue des poissons.
Et des poissons, il y en vint !
11 pour les garçons et…
6 pour les filles.
Des gardons et des perches de bonne taille.
Ces poissons finiront leur vie non dans une assiette mais dans la rivière des Oréades.
Évidemment, dans ce décompte piscicole, ne figurent pas toutes les sardines qui ont été capturées par…
Christopher qui débutait ainsi, magistralement, sa carrière de pêcheur d’Eslandes.
Les garçons…
savourèrent, modestement, leur victoire au cours de ce second concours international de pêche au gardon de fond.
Et c’est l’un d’eux qui se dévoua…
pour ramener tout l’équipe au point de départ, par vent de force 1, tout de même.